Vos œuvres numériques découlent-elles de votre expérience cinématographique ?
Oui, en partie. Tout d’abord j’utilise un format constant : celui du cinémascope (1:2,35). C’est au cinéma le format qui englobe au mieux le champ visuel et qui pour des générations de spectateurs depuis les années 50 évoquent le grand spectacle. Ma prochaine série empruntera des codes du storyboard et du montage, elle se présentera comme une succession de plans.